Les artisans de CAFÉ
Dans le premier numéro, une dizaine de traducteurs vous ont fait découvrir des textes qui se conjuguent au Futur. D’autres les ont rejoint dans le second numéro consacré au Silence. Certains ont échoué sur nos rives pour le troisième itération, Naufrage. Fiez vous aux couleurs pour savoir dans quels numéros trouver leurs traductions ! N’hésitez pas à les contacter si vous avez des commentaires, des suggestions et pourquoi pas des compliments à leur faire ! Peut-être aurez-vous même un texte à leur soumettre, une idée ou une pépite à partager ?
Alors, par ordre alphabétique des noms, nous avons Firat Baran (kurde), Benoît-Joseph Courvoisier (roumain), Chantal Dauphin (tchèque), Clément Dupuis (japonais), Julie Duvigneau (persan), Sibel Er (kurde), Eteri Gavasheli (géorgien), Quentin Ghesquière-Dierickx (catalan et japonais), Roxana Giba (hongrois), Faustine Imbert-Vier (tamoul), Aurélie Journo (Swahili), Marie Karaś-Delcourt (serbo-croate), Morgane Kervinio (chinois), Enora Lessinger (hébreu), Lola Maselbas (arabe), Elisa Morange (finnois), Sepideh Nikoukar (persan), Clara Nizzoli (grec moderne), Julie Perciaux (japonais), Joanna Piechura (polonais), Silvia Pin (hébreu), Noor Shihadeh (hébreu), Camille Sanchez (japonais), Atalia Sosnowska (polonais) Florian Targa (arabe), Yungdrung Tsering (tibétain et chinois) Yann Varc’h Thorel (breton et cantonais), Callisto Vesin (coréen), Marie Vrinat-Nikolov (bulgare), Maedeh Zarei (persan).
Mais traduire ne suffit pas, il faut aussi éditer, faire vivre la revue, et si nombre des personnes déjà mentionnées participent aussi à ce travail collectif, mentionnons aussi Léo Beroudiaux et Clément Buée notre graphiste. Nous remercions aussi Sephora Vallotton, Sandrine Mahieu, Nathalie Carré, Louis Watier, Christian Tortel, Paol Keineg, Jean Guillaumont et Bénédicte Crubellier qui ont accepté de rejoindre nos comités de lecture.
REVUE CAFÉ 